Une main dans le paysage

A là recherche des finisterres, du bout des routes sur google maps et street view, j’explore le nord du Canada, j’y trouve des petits morceaux d’itinéraires et me demande pourquoi si court (l’itinéraire) et comment la google car a pu passer là.L’ombre trahit : la google car est à dos d’homme, accompagné d’un pote. Deux randonneurs escaladeurs qui profitent du paysage.

 

Une certaine idée du bout du monde

 

Hier soir, en vadrouille sur Google map, je vais voir à quoi ressemble le bout du monde.

Je vise Ushuaïa,

Rabelais (et son musée) dans tous ses états

Paris, jardin du Luxembourg

Variations Rabelais

En fait, Rabelais, on ne sait pas à quoi il ressemblait, du coup il y a le champ de tous les possibles.

(cliquez sur les images pour les agrandir)

Une description de la Maison s’impose (ou le bidet rose saumon d’Aragon)

Petit tour chez Triolet – Aragon.

J’y suis passé il y a quelques 3 ou 4 années, hors horaires d’ouverture,

obligé de regarder par-dessus le mur, juste rapide vue d’ensemble,

juste le temps d’apercevoir le terrain de foot d’Aragon

(renseignement pris aujourd’hui, c’est une oeuvre d’Ange Leccia,

le terrain réduit à son minimum les 2 buts étant accolés)

(Il ne fait pas beau, du coup je mets le filtre »artistique chaud » sur l’appareil photo.)

Ulysse illustré

 Des fois tu fais un cadeau à quelqu’un, un beau cadeau avec plein de pastels gras juste pour lui salir les doigts.

Balade aux confins est de l’ouest

Bon, en réalité, c’est Fontevraud, avec d

…Loading… Firenze

 …

…

pastels

Des restes de voyages (Roma / Paris / Wien / Kerkyra / Venezia)

 Pour essayer le pastel

(je n’aimais pas cette technique, a priori)

j’ai tenté quelques paysages  je les ai brouillé autant que possible

c’est plus ou moins réussimais cela m’a permis d’utiliser les dernières pages du grand carnet

(celui avec Langeais, Saché, Chambon-sur-Voueize, La Devinière, et autres maisons d’écrivains et Noirmoutiers dedans)

Pastels gras

De Venise à Villaines (dessins à la plume de goéland)

Je ne me souviens de rien (je ne parlerai pas de philosophie, juste des lieux)

Je ne me souviens de rien

pourtant nous avions causé

longuement

elle m’a tout expliqué

j’ai acquiescé

je n’ai presque rien retenu

Un reconstitué de son bureau parisien

Les ambiances différentes des 2 façades

.

Maisons d’écrivains : Pier Paolo Pasolini (Rome)

Pasolini, dans Roma, une porte ici une porte là.

 

LES PIEDS DANS LE VARECH (extrait 4) : J’ai tout vu, j’ai rien vu (le monde fini 5) NUUK

– Dans l’échancrure de la côte – le ferry longe les masses rocheuses – dans l’échancrure de la côte, dans le museau de celle qui ressemble à un jeune loup – le ferry accoste dans le rouge accueillant – tourné vers l’est, vers la ville : couleurs vives (pour égayer le blanc de l’hiver ? pour se signaler dans le brouillard ?) – Ici c’est l’été, à peine au dessus de 0°C – Si c’est l’été, la canicule c’est 10°C – Pause dans l’échancrure, relais d’un jour ou deux, le temps que le ferry ravitaille et remette les moteurs – de toute façon vite fait le tour ; la route la plus longue doit faire 5 km, d’un bout à l’autre, de la mer sud au télésiège près du petit aéroport, de cette portion de civilisation comme posée sur un rocher.

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Quelques poèmes des années géographie. Anciens ; plus lyriques, paraît-il. Quelques étapes :

Bretagne, Corse, Beauce, Brindisi, Tunisie, Bologne… ; mer, montagne, ville…

Les pieds dans le varech, / l’esprit en balade, / l’étendue s’ouvrant au monde, / obstination infinie / du vent qui souffle.

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Maisons d’écrivains : Claude Simon (rue Monge, Paris)

Claude Simon, dans son Monge ; ça doit être une fenêtre par là.