L’Île Bouchard café

Tiens,

comme je vais à la grande ville 25 km plus à l’Est en suivant le fleuve,

je suis nappé de brouillard à n’y pas voir 2 bandes blanches en avant.

(si je l’avais dessiné, cela aurait pu donner ça)

(voir même ça)

Ca me rappelle hier,

le brouillard aussi

mais sur un autre paysage, tendance au sud-est le paysage,

et là j’avais l’appareil pour la photo.

Pour les photos.

« Joie de vivre en Bouchardais »

Ouais, le Bouchardais, j’étais un peu, beaucoup surtout, obligé d’y aller. Ouais ; donc j’y suis allé. Le Bouchardais ce sont les alentours de l’Ile-Bouchard : tu vois le bourg, 2 ponts sur la Vienne qui mènent sur l’île où la mairie, où la salle municipale, où la place du marché (le mardi : « hé Loran, faut enlever ta voiture » (une AX spot vert polynésien qui ne peut plus faire d’excès de vitesse et qui peine dans les montées de Touraine, c’est dire !!!) pour laisser la place aux 4 ou 5 marchands. Ouais, j’aurais pu la laisser, ça n’aurait gêné personne en fait. Bon l’Île Bouchard pour vous dire, y’a bien le  club très fréquenté « Joie de vivre en bouchardais » (ça va guincher autour d’une belote, cet aprèm’) mais c’est pas super beau, quelques maisons,

le prieuré Saint-Léonard, le petit château (et encore) sur les hauteurs :

Par contre les environs, c’est plus que gentil, y’a des vignes (Chinon oblige), des vallons, des bois.

Je me pose à Crissay-sur-Manse pour admirer dessiner (c’est peut-être pas la plus belle vue, mais c’en est une commode) :

Et sur le retour un grain tombe dru mêlant les éléments, l’eau et le feu (le grain qui tombe dru et le grand soleil) ; et le mélange des éléments ça donne un arc en ciel, parfois.