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pastels
Nous arrivâmes de Paris par le TGV. Il était aux alentours de midi, nous avions voyagé 6 heures de train avec dans le désordre un Libanais allant à Milan, un catholique lisant un livre réac, un jeune Irlandais parlant mousses irlandaises. Nous voulions aller directement dans le sud, à Brindisi pour voir les bateaux pour la Grèce. Nous dûmes changer de gare pour la correspondance. Entre deux trains, nous fîmes une sieste à l’ombre, dans le Parco del Valentino. Nous nous y aperçûmes que j’avais oublié les piquets de notre tente.
La suite par ici :
Le cinquième numéro de la revue d’ici là, concocté par Pierre Ménard, est consacré à la sérendipité
(ce qu’on trouve sans le chercher).
parmi les autres, j’y Italie
Sienne, j’ai bien aimé ; plus que Florence, par exemple. Parce que moins grand sûrement. Parce que aussi des émotions autour du Palio (vous savez cette courses de chevaux bi-annuelle autour de la place en coquille Saint-Jacques) gagné par le quartier ami du Brucco cette année-là. 40 ou 50 ans d’attente pour le quartier dit ; vous imaginez l’émotion du coup; et une effervescence…
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