« Je hais Paris. »
Bien obligé
alors…
…Paperolles, le matin
vu les manuscrits, le dossier 117 du fourbe Lovanjoul (comme elle me dit : ce ne serait pas une façon de faire entrer Balzac à l’Académie pour l’éternité que de donner tous ses manuscrits à l’Institut de France et d’exiger qu’ils n’en sortent pas ?). Pas le droit aux photos, donc je fais un dessin que j’aquarelise.
…Musées, l’après-midi
Par hasard, sur le chemin de Saint-George,
d’abord la rue Visconti où Balzac avait son imprimerie, celle des dettes colossales, avant d’être Le Balzac. Une toute fine rue
qui s’élargit pour Balzac.
Tiens, chez Colette ! Jamais lu Colette.
Puis passage chez Delacroix : son atelier, des œuvres, pas de reconstitution ; des croutes et des croquis (je penche pour les seconds), ses palettes.
Enfin, le hasard toujours, les manuscrits. Avec accointances pour ceux des artistes et des écrivains (même si la Relativité de Einstein : !!!)
Enfin, le second objectif de la journée : les breloques de George Sand
au musée de la vie romantique, dans le salon de son ami Ary Scheffer, avec les gamins de l’école toute proche qui piaillent déjà les vacances.
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