LES PIEDS DANS LE VARECH (extrait 2)

OUVERTURE

CABOURG – Je courais après la marée fuyante.
CORSE – Rattrapé l’île, en miniature de bureau.
NEW-YORK – Le vent des immigrants, le vent en quarantaine sur l’île de la liberté.
LE CROISIC – Pierre à pierre, pas à pas, sur la jetée infinie.
BRIGTHON – Sur un muret, mini digue de plage, entre 2 grains : frites
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LesPiedsdanslevarech-gobenceaux

Quelques poèmes des années géographie. Anciens ; plus lyriques, paraît-il. Quelques étapes :

 

Bretagne, Corse, Beauce, Brindisi, Tunisie, Bologne… ; mer, montagne, ville…

Les pieds dans le varech, / l’esprit en balade, / l’étendue s’ouvrant au monde, / obstination infinie / du vent qui souffle.

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De villes, de bourgs & d’autres lieux (5) : BASTIA

D’une île à l’autre. Cette ville possède l’une des plus grandes places d’Europe. Nous la vîmes dans toute son étendue un soir, à la lumière des lampadaires ; puis depuis le pont du bateau, le jour du retour. La petite maison où nous logions était perchée sur les contreforts des montagnes, surplombant le centre-ville. Nous en fîmes un camp de base pour explorer la partie Nord de l’île : Saint-Florent, le Cap Corse… Nous y jouions du piano et de la guitare entre deux expéditions vertigineuses dans les montagnes, entre deux balades dans le centre-ville coloré d’ocres.

La suite par ici :

Erbalonga / Saint-Florent (Corse)

Les dates, à part les années de naissance des footballeurs de mon adolescence, je ne les retiens pas, sauf s’il y a une coupe du monde ou un Euro contemporain au voyage. Pour ce voyage en Corse, rien de footballistique, vaguement, ça devait être en 2001/2002, au cours des années géo. Ce dont je me souviens, c’est que pour attraper le bateau, à Nice, nous avions passé la nuit de Pâques dans le train direction le sud. Puis sur l’île, nous avons crapahuté d’un bord à l’autre.