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La nuit avait été un peu rude, sur le Napoléon agité par les vagues. Mais au petit matin, l’aurore printanière donnait des tons rosés aux calanques. Sur le moment, et parfois encore après, j’ai regretté de ne pas avoir eu d’appareil sous la main pour les prendre en photos, ces calanques rosées. Débarqués, nous prîmes quelque boulevard de type haussmannien gris foncé de crasse pour rejoindre la gare où nous devions récupérer le train pour Paris. L’attente avait été longue, 2 ou 3 heures peut-être. J’en profitais pour admirer le panorama depuis le parvis, panorama sur la ville, panorama sur Notre-Dame-de-la-Garde aussi, dressée sur une colline opposée.
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