Un moine que j’ai rencontré m’a remis sur la piste.
Ce qu’il m’a confié m’a troublé au point
que ce souvenir que je tentais de retrouver devint dès lors (pour moi) une évidence.
Je me demandais comment je m’en sortirai,
côté psychique, je veux dire.
Il me fallait maintenant traverser le pays.
Du Veneto aux Pouilles
s’égrenèrent paysages et petites gares
Je les vis à peine, absorbé & excité par mes extrapolations.
À Brindisi je pris un bateau
qui me mena à Corfou.
Sur place, j’essayais de glaner un maximum de renseignements.
Peu de choses en fait, jusqu’à ce que quelqu’un m’indique une adresse dans la vieille ville.
La porte était close. « N’habite plus ici » me dit une petite vieille.
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