Séraphîtus, Séraphîta
un homme / une femme,
ça dépend
Si c’est Minna qui regarde
c’est un homme raffiné, Séraphîtus, qui lui apparaît
Si c’est Wilfrid qui regarde
c’est une jolie jeune femme, c’est Séraphîta.
L’histoire est curieuse, surprenante parfois
classée dans les Etudes philosophiques
qui sont bien souvent des études fantastiques ;
et se déroule dans un lieu peu Balzacien : La Norvège
pays qu’il frôla lors d’un voyage
en bateau vers Saint-Pétersbourg
Une histoire curieuse, dans laquelle on ne se perd pas dans le nombre des personnages
il y en a 4
ou 5 en comptant le dédoublement du héros-titre.
Mais l’histoire est entrecoupée, voir alourdie si le thème ne nous intéresse pas, par 3 exposés :
1 géographique :
10 pages de description de la Norvège
(perso j’ai aimé)
1 philosophique
30 pages de bio de Swedenborg
(Si on s’y intéresse… Moi j’ai sauté)
et 1 théologique
30 pages de dissertation
notamment sur le thème : Dieu préexiste-t’il à la matière ?
(J’ai sauté en grande partie, désolé)
170 (nombre total de pages) – 10 – 30 – 30 = la réputation pas toujours usurpée de Balzac
Une clef : les Séraphins, les anges, on comprend à la fin.
Sur fond de fonte des glaciers, au printemps boréal.
La semaine prochaine, on annonce
le retour de la chaleur, c’est peut-être
le moment de lire ce livre.
A reblogué ceci sur NoTeS&PaRSeS.