SOUVENIRS (FRAGMENTAIRES) DES ENVIRONS DES BUTTES

C’était l’époque de la vie parisienne, des migrations pendulaires d’Est vers Ouest puis retour. C’était l’hiver peut-être bien, une petite bruine sur la chaussée, fin d’après-midi, réverbères qui s’allument lentement. On y allait parfois, aux buttes, comme ça pour voir, les joggers et les canards, les pitt-bulls dévalant, suivant maître au couteau, une fois, provocant cris et stupéfactions. Et après on descendait la rue, celle qui mène de la Mairie du XIXè à Laumière, pour rentrer.

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