En vadrouille dans les environs, je retourne voir ce port ligérien. Balzac dit qu’il descend la Loire de Tours à Nantes en bateau à vapeur si je me souviens bien -je ne me rappelle plus trop- avec Mme de Berny, dans les années 1830. Aujourd’hui ce sont seulement quelques canoës oranges qui vont suivant le courant pendant que, de l’autre côté, celui du village, je dessine.
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